Gynécologie : la toxicité des implants EssureⓇ désormais prouvée

Communiqué de presse Biologie

Le petit implant, lancé sur le marché des dispositifs médicaux en 2002, était proposé aux femmes de plus de 45 ans ayant déjà eu des enfants et souhaitant s’orienter vers une contraception définitive. Sans chirurgie, l’implant Essure® était présenté comme une alternative à la technique de ligature des trompes par cœlioscopie. Seulement, le dispositif médical a depuis laissé des séquelles à quelques milliers de patientes dont le quotidien se trouve désormais marqué par des effets indésirables invalidants : troubles du système nerveux, cardiovasculaires, endocriniens, musculo-squelettiques… Cet implant a été retiré de la vente en 2017. L'article publié dans la revue Journal of Trace Elements in Medicine in Biology, implique le Laboratoire de mécanique des contacts et des structures, la société Minapath, le l'Institut de recherches sur la catalyse et l’environnement, le Laboratoire de géologie de Lyon : Terre, planètes et environnement et l’hôpital privé Natecia.

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