Polluants organiques persistants, une bombe à retardement dans le développement de cancers de la prostate agressifs

Avancée scientifique Biologie

De nombreux polluants organiques persistants (POPs) s’accumulent dans notre environnement. Les travaux publiés par l’équipe NuReP de l’institut de Génétique reproduction et développement (iGred) dans la revue Oncogene montrent que l’exposition à des concentrations faibles de certains de ces POPs augmentent le risque de développement d’une forme agressive du cancer de la prostate. Ces travaux sont le fruit d’une collaboration internationale entre des équipes de recherche françaises de Clermont-Ferrand (iGred, Centre de lutte contre le cancer Jean Perrin, CHU) et de Nice (C3M, IPMC), norvégienne (IBMS, Oslo) et américaines (Baylor College of Medicine, VA Medical Center, Houston TX).

En savoir plus