Syndrome des ovaires polykystiques : un nouveau regard sur les rouages d’un trouble complexe
Avancée scientifique
Biologie
Les traitements hormonaux en procréation médicalement assistée (PMA) peuvent provoquer une réponse anormale, en particulier chez les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). L'étude montre que l'absence des récepteurs appelés LXR favorise l’inflammation dans l’ovaire qui se caractérise par une infiltration de cellules immunitaires dans l’ovaire, phénomène retrouvé chez les patientes atteintes de SOPK. Article publié le 4 juin dans la revue scientifique EMBO Molecular Medicine par l’équipe NUREP de l’Institut de Génétique Reproduction et Développement.