Un projet de recherche international franco-québécois mis à l'honneur
En sus de l'inauguration de l'IRC entre le CNRS et l'Université de Sherbrooke, la 21e rencontre alternée des premiers ministres français et québécois a mis à l'honneur le projet de recherche international RESPIVIR, co-porté, côté français, par le CNRS, l'ENS de Lyon, l'Inserm et l'Université Claude Bernard Lyon 1, et côté québécois par l'Université de Laval. La rencontre diplomatique aura permis de formaliser, en présence de représentants des différentes parties, l’entente de partenariat entre toutes ces tutelles, avec le soutien du ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec et du ministère français de la Recherche et de l'Enseignement supérieur. Le projet RESPIVIR est piloté en région par Manuel Rosa-Calatrava au Centre international de recherche en infectiologie.
Cet IRP se concentre sur les domaines de la relation hôte-pathogène, de l’immunologie, de l’inflammation, de la pharmacologie, de l’ingénierie et des technologies pour la santé, ainsi que de l’imagerie biomédicale. L’objectif est de mieux se préparer face aux virus respiratoires émergents et ré-émergents, en intégrant la recherche fondamentale, translationnelle et clinique.
Initiée en 2010, cette collaboration internationale compte à son palmarès 16 publications scientifiques, 5 brevets internationaux, 2 essais cliniques de phase 2 et la création des startups Signia Therapeutics et Vaxxel.
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